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L’attentat commis dans la cité balnéaire ivoirienne a constitué un tournant pour la lutte contre le terrorisme dans le pays. Le procès en cours rappelle que le risque d’attaques jihadistes est toujours très présent.
Les plages de la station balnéaire de Grand-Bassam n’ont pas grand-chose en commun avec les pistes rocailleuses du nord-est de la Côte d’Ivoire. Elles partagent toutefois la sombre caractéristique d’avoir été le théâtre des deux grands attentats jihadistes qui ont frappé le pays.
Le 13 mars 2016, à la mi-journée, trois hommes armés débarquent sur la plage de Bassam. Ils feront 22 morts et 33 blessés, principalement des civils. Un peu plus de quatre ans après, dans la nuit du 10 au 11 juin 2020, une quarantaine de personnes prennent pour cible le village de Kafolo, situé à 200 kilomètres au nord de Korhogo, à la frontière avec le Burkina Faso. Tirés de leur sommeil, les éléments du détachement de l’armée sont totalement pris par surprise. Quatorze d’entre eux perdront la vie.
Source : jeuneafrique